Saison
Les 28 et 29 mars 2013
Jeudi 28 mars à 14h
Vendredi 29 mars à 14h et 20h30
Contacts
Studio Théâtre de Stains
19 rue Carnot
93240 STAINS

Réservations au 01 48 23 06 61 ou par mail à contact@studiotheatrestains.fr

Navette A/R au départ du métro Saint Denis Université

Métro: St Denis Université
Bus 150 - 252 - 255 arrêt mairie de Stains

RER: arrêt Pierrefitte Stains
Bus 150 arrêt mairie de Stains
Tout conte fait



Après leur première expérience : « Sur un fil » qui représentait d’une manière réaliste le quotidien des assistantes sociales dans l’exercice de leur fonction, elle ont voulu poursuivre ce compagnonnage dans un genre plus théâtral.
Nous est donc venue l’idée de transposer les problématiques d’aujourd’hui (femmes victimes de violence, maltraitance des enfants, solitude et exclusion…) dans les contes d’hier : Cendrillon, le petit Chaperon Rouge, Barbe Bleue et Riquet à la Houpe.











En collaboration avec Xavier Marcheschi, Marjorie Nakache et Kamel OUARTI

Avec Amara BELKEBIR, Laetitia BERHOUET, Véronique BERNARD, Yanne BOUTET,
Raymonde FULCHER, Houria HAMEG, Annie RAFENAUD, Laura RIBERO,
Mina TOUNKARA et Khalid ZAOUCHE


Costumes: Nadia REMOND
Vidéo: Leizart Production
Lumière et Son: Hervé JANLIN
Chant: Marie-Anne TRAN
Danse: Sonja MAZOUZ


«Les contes sont intemporels et universels parce qu’ils mettent en scène nos terreurs et nos angoisses: la peur d’être dévoré, d’être abandonné, l’inceste.
Ils racontent la violence qui peut nous anéantir.
Dans ses contes Charles PERRAULT propose des fins heureuses: l’enfant aidé par la fée ou d’autres rencontres parvient à dépasser ses peurs à trouver des solutions à son malheur pour démarrer une nouvelle vie.
Comment le travail social peut- il s’inscrire dans cette histoire universelle?
Qui sont les petits Chaperons rouges, les Barbes Bleus, Les Petits Poucets et les Cendrillons d’aujourd’hui.
Sans Baguette magique et en dehors d’une quelconque toute puissance mais en proposant une écoute bienveillante déjouant la culpabilité, le travailleur social ne peut- il pas incarner cette rencontre qui peut éventuellement modifier le destin ?»