« ELLES » dans la presse!
Elles allie avec autant d’esprit que d’efficacité la veine pédagogique et la volonté esthétique (…) quatre comédiennes pétulantes, drôles, émouvantes et gracieuses qui changent allègrement de ton, d’emploi et de posture (…) le cœur s’emballe et la tête se redresse en entendant ces textes pleins d’émotion, qu’on découvre toujours avec bonheur (…) Une belle défense et illustration d’un métier en même temps que d’une passion : subtile alliance que ceux du Studio Théâtre de Stains maintiennent pour tous et contre tout !
Catherine Robert – La Terrasse
« Une troupe admirable (…) Un très joli travail sur les femmes au théâtre. »
Gilles Costaz – Le Masque et la plume
Marjorie Nakache interroge la figure féminine, ses variations et ses résonances actuelles… tout cela est très habilement construit (…) le pari est relevé avec brio et finesse. Marjorie Nakache partage la scène avec Jamila Aznague, Adèle Liners et Sonja Mazouz. Elles sont toutes les quatre impeccables. Elles nous font rire en nous poussant à la réflexion. C’est un vrai délice.
Dimitri Denorme – Pariscope
Un véritable petit bijou théâtral qui allie intelligence didactique, inventivité et fantaisie (…) La mise en scène de Marjorie Nakache est nette, précise et sans bavure (…) Les comédiennes sont toutes parfaitement justes et dispensent avec talent et générosité un spectacle réflexif, pétillant et ludique propre à déclencher une addiction aux « classiques » et dont le seul regret tient à son format court d’une heure.
MM – Froggy’s delight
Le Studio Théâtre de Stains, qui a créé dans sa ville « Elles » et a franchi le périphérique pour le présenter à Paris, est exemplaire (…) dense voyage à travers le personnage féminin dans le théâtre classique (…) Jamila Aznague, Adèle Liners, Sonja Mazouz et Marjorie Nakache manifestent une belle habileté et de beaux tempéraments en passant d’un rôle à l’autre. C’est un tableau qui révèle en profondeur la nature des femmes telles qu’elles vivent éternellement chez les auteurs classiques. C’est également un hymne à la liberté …
Gilles Costaz – Webthéa
