Les noces du ferblantier

mini_30bfCréation 2009

de John Millington Synge
Mise en scène Marjorie Nakache                                                                                                                 Adaptation : Xavier Marcheschi

Avec : Guillaume Franceschi, Karine Gonzalez, Xavier Marcheschi, Alexandra-Shiva Mélis Décor : Patricia Rabourdin Lumière : Lauriano de la Rosa Costumes : Nadia Rémond Marionnettes : Alexandra-Shiva Mélis Vidéo : Guillaume Aroutzet
Sarah Casey, jeune bohémienne est déterminée à épouser le ferblantier Michael Byrne. Elle attend le passage du prêtre, qu’elle souhaite convaincre de les marier. Celui-ci accepte, mais elle devra se confronter à l’hostilité de Mary Byrne, mère du futur époux…

Ce récit populaire dépeint un monde auquel Synge redonne sa véritable dimension.
Auteur Irlandais, merveilleux de truculence et d’ironie fine, il nous parle, sur le ton de la comédie frôlant la farce, d’une communauté exclue qui souhaite s’intégrer.
Dans un style « gitan rock’n roll »et grâce à l’apport de formes plurielles : la danse flamenca, les marionnettes et la musique, nous vous invitons à une joyeuse fantaisie.

La presse en parle

« Marjorie Nakache offre une saveur gourmande renouvelée à l’univers de terroir initial (…) un tango ravageur autant que tendre. Percutant et sensuel » LA TERRASSE

« la parole est donnée avec acuité et saveur aux gens de la rue (…) il faut souligner la qualité de l’adaptation réalisée par Xavier Marcheschi et une délicieuse utilisation de l’art de la marionnette » PARISCOPE

 » dans un cadre coloré, une musicalité gitan-rock n’roll et une intensité de danse flamenca. Percutant » POLITIS

« entre comédie et huis clos surréaliste, la nouvelle création de Marjorie Nakache est inventive et foisonnante. on danse, on rit, on est surpris, bref on se divertit » LE PARISIEN

« sur cette trame colorée, ça tchatche à tout va, et ça vous allonge d’un direct au revers d’un dialogue en acier trempé. En bref, ça dépote. En une heure quinze, tout est dit. l’exclusion, le mépris mais aussi les joies et les plaies de ces magnifiques éclopés de la vie » A NOUS PARIS