Accueil » LES ATELIERS DE LA FABRIQUE
Permanence inscriptions :
Mercredi 27 septembre de 10h à 12h et de 14h à 17h
Samedi 30 septembre de 10h à 13h
Débuts des ateliers à partir du mercredi 4 octobre
Intervenants cirque Isabelle HELLEUX et Fabrice MICHAUD
Mercredi de 10H à 12H – Cirque
Samedi de 9H30 à 11H – Cirque
Samedi de 11h15 à 12h45 – Cirque
Il s’agit d’ateliers qui permettent à chaque participant :
Intervenants théâtre Cécile FRAISSE, Marianne PICHON et Clémence LABOUREAU
Samedis de 13h30 Ã 15h
Samedis de 15h30 Ã 17h
Cet atelier permet d’apprendre à :
Si vous souhaitez inscrire votre enfant à une activité de pratique artistique, contactez-nous au 01.48.23.06.61
Tarif : 180€ (stanois) ou 200€ l’année, réglables en chèque(s), espèces, Pass’sport Loisirs et/ou bon CAF
Documents à fournir : attestation d’assurance
Un chef d’œuvre est diminué à n’être possédé que par quelques-uns
Jean Jaurès
Un outil de transmission et de citoyenneté : La Fabrique permet à tout citoyen de pratiquer ou de découvrir qualitativement l’art, la discipline ou la technique de son choix, au regard des créations diffusées ; d’en connaître, d’en maîtriser les difficultés et d’y prendre plaisir.
La Compagnie du Studio Théâtre de Stains mène un travail important d’action et de développement culturel sur la ville et ses environs. Ateliers de pratique artistique sur les Collèges Maurice Thorez, Joliot Curie et Pablo Neruda classes à PEAC, option théâtre au baccalauréat et ateliers de pratique artistique auprès des classes de 2nde et de 1ère au Lycée Maurice Utrillo, atelier adultes, atelier intergénérationnel…
Elle organise aussi des stages liés à la création du moment.
De même, elle favorise les rencontres hors les murs, dans les quartiers, auprès des associations, des services municipaux… (sous la forme de lectures, d’échanges et de sensibilisations).
« La pièce commence le soir du triomphe d’Hernani, cette œuvre controversée qui reste dans l’Histoire du théâtre comment étant le début du romantisme. Ce même soir, Victor Hugo rencontre dans la rue un homme emmené par deux gendarmes. Il avait volé un pain pour nourrir sa famille. L’écrivain découvre l’envers du décor, l’autre vie, la vraie. Lui, le royaliste, habitué aux fastes de la cour, rencontre le spectre de la misère. Sa vie bascule. Et dès lors, il met son talent au service des exploités, des malheureux.
Le spectacle ne montre pas Les Misérables, mais un auteur écrivant Les Misérables. Dans une époque où la coupure entre le pouvoir et le peuple semble tout aussi réelle qu’à celle d’Hugo, le spectacle veut montrer le processus de création d’un homme qui tente par son art, de briser ce mur d’égoïsme et de repli. »
Causae hercule multae maxime excellit spe ut virtutis Sed indigens est utilitates excellit quamquam enim Minime moribus et multae Africanus dilexit nullo meis virtutis enim nullo non eius sibi quisque.